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Présentation
Comme chaque année en février, des effluves remontent du bayou, les lentilles d’eau ondulent, la brume est traversée par quelques rais de lune. L’heure est venue des célèbres « Nuits de l’Alligator », festival ennemi du solo sirupeux, ami de la transe et des alcools de contrebande, qui donnerait tout pour un riff sauvage et sexy. A l’affiche : des morts vivants, des envoutés du groove, des femmes fatales, des batraciens gluants …venus conquérir la France
« Son of a bitch, give me a drink !», chante Nathaniel Rateliff sur son déjà tubesque S.O.B, et nul doute que l’Américain profitera de sa première tournée française aux Nuits de l’Alligator pour payer sa tournée (de chansons, s’entend) à tous les assoiffés de musique qui gratte, qui remue et qui donne chaud. C’est donc reparti pour un tour, une tournée et une onzième édition qui s’avère cette année particulièrement poilue, romantique, américaine, bucolique, enfiévrée, et toujours en février. |